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Retour à Guerlédan
D'emblée en m'y baladant pendant son assec, je m'étais dit que je reviendrais prendre quelques clichés pour mettre en perspective le lac de Guerlédan vide et plein.
Avant de lire cet article, il peut donc être intéressant de revenir sur la rando de 2015.
M'y voilà donc, même jour (à vrai dire deux jours d'écart), même heure, même météo (veine !).
Je pose la voiture à l'anse de Sordan. Un peu déçu : le lac est loin d'être rempli ! L'été et le début d'automne 2016 ont été globalement secs.
Cette première mise en perspective, prise de loin, quasiment du parking de Sordan, est carrément décevante...
J'aurais aimé que ces quelques bateaux, qui ont patiemment attendu, se soient remis à flotter, et c'est probablement ce qu'ils ont fait au printemps dernier, mais les voilà donc de nouveau au radoub forcé...
Je pars longer le lac en rive droite. L'an dernier j'étais au fond. Comparaison...
Je n'ai pas pris ma mob cette année. Ah ah.
Au passage je tente de repérer les points de vue d'où j'avais pris mes photos. Mais je shooterai au retour, pour être aux mêmes heures, afin que les ombres soient pile identiques à celles de l'an dernier.
Et je pousse jusqu'au barrage de Guerlédan.
Marche arrière, déjeuner au bord du Blavet, remontée à Sainte Tréphine et reprise du chemin en rive droite.
Au travers les bois, les ouvertures n'étaient finalement pas si nombreuses ; avec la géométrie des arbres qui encadraient mes photos, c'est assez facile de retrouver la perspective vers l'écluse du Bois de Caurel.
Idem un peu plus loin.
La photo suivante, je tenais beaucoup à la retrouver, mais ça s'avère beaucoup plus compliqué. Le seul élément du premier plan est totalement sous l'eau... Alors je descends à plusieurs reprises en bord de lac pour multiplier les clichés : je comparerai sur ordinateur... Et voilà !
C'est toujours le Bois de Caurel (écluse 122).
L'écluse de Pouldu... J'étais descendu très bas dans la vallée ; le cliché équivalent serait sans doute sous deux bons mètres d'eau. Sauf à refaire la blague du début...
Et me revoilà à l'embarcadère de Sordan.
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