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Côte Sauvage suite
Je longe la plage de Port Blanc un moment, profitant du miroir de sable de la marée basse.
Du bout de la plage de Port Blanc : la pointe du Percho. Ça moutonne quand même pas mal !
Par le bas, ça ne passe pas, et pour remonter il faudrait quelques pas d'escalade. Sur ce coup je préfère revenir jusqu'à l'arche de Port Blanc pour rejoindre le haut de la falaise par le chemin officiel.
Retour au chemin côtier.
Après Port Blanc, on rentre dans le dur de la Côte Sauvage : il n'y aura quasiment plus de plage, que des pointes déchirées et des "trous d'enfer", tambours de machines à écume.
Encore une plage, juste pour me contredire...
Sais pas où c'est...
Passé le roc de la Truie, il m'est impossible de situer mes photos : pointe de Kervihan, pointe de Scouro, etc, se succèdent.
Grondement du vent, fracas des vagues dans les entrailles des falaises, j'en suis presque sourd.
Toujours le vent dans le dos, j'avance, mitraille les déferlantes. Quelques illustrations, mais je ne saurais pas les nommer !
Enfin je me repère.
Port Kerné : un accès au bas des falaises.
La carte IGN indique un menhir sur le plateau. J'y jette un œil.
Retour au bord de mer à la pointe de Beg er Goalennec (le Vivier).
Peu à peu la terre s'est enfoncée, il n'y a pratiquement plus de falaises.
On entraperçoit le Château Turpault, qui marque la fin de la Côte Sauvage.
Vire à l'est vers Port Maria. Le Château Turpault se déguise en Maison Bates...
Et revoilà la plage de Port Maria.
Le bateau de Belle-Île s'en va. Quant à moi je récupère la voiture au Varquez. Marche 15 km. On peut évidemment la faire dans l'autre sens, le tout c'est d'avoir... le vent dans le dos !
Tags : Quiberon
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