• Nino sous la neige 2

    (Accès au début de l'article)

    Sûr que peu de GRistes auront les mêmes souvenirs. (Et la même photo...) La rive droite du Nino sous les névés.

    Nino sous la neige 2

    Histoire de ne pas revenir par le même chemin - et puisqu'il ne fait au final pas si moche - il me vient l'idée de partir en hors-piste : je vais monter sur la crête qui me sépare du torrent de Pizzu Guardu.

    Nino sous la neige

    Encore un panorama (si on peut dire...) du lac de Nino et de ses fameux pozzine, depuis la cote 1802.

    Nino sous la neige 2

    Du même endroit : la bergerie des Inzecche et les pentes de la Punta Artica dans les nuages.

    Nino sous la neige

    Et de l'autre côté, la crête de la Cimatella, qui, elle, daigne se découvrir à demi.

    Nino sous la neige

    Si j'avais un peu mieux regarder ma carte, j'aurais pensé à remonter jusqu'au Capu a e Furcelle. Zut.

    Bon, je continue ma fantaisie hors-piste avec un petit exercice de navigation : rejoindre les ruines de la bergerie de Pizzolo, vite trouvées au milieu des névés.

    Nino sous la neige

    Il n'en reste pas grand chose, de cette bergerie de Pizzolo, mais cette courte course d'orientation dans la neige était sympa. Par contre les chaussures sont ruinées, les chaussettes définitivement trempées.

    Nino sous la neige

    Nino sous la neige

    La navigation continue, à la recherche d'une vague sente cairnée, indiquée sur la carte, qui va me ramener jusqu'à Vaccaghia.

    Nino sous la neige 2

    Et retour via le Planu de Campotile. Chemin connu.

    La Punta di l'Arinella se dévoile également, mais pas les crêtes vers le Lombarduccio.

    Nino sous la neige

    Un coup d’œil à la vallée du Zoïcu avant de rejoindre Manganu.

    Nino sous la neige

    Manganu. A comparer à la photo d'hier soir !

    Nino sous la neige

    Et toujours personne au refuge. Deuxième journée de totale solitude. "Vous êtes en avance !" m'avait lancé le gérant de la station-essence de Corte, pendant ma Quête de La Bouteille de Gaz. Sur le coup je n'avais pas compris, et m'étais même demandé s'il se foutait de ma gueule. Faut dire que tous les cortenais ont l'accent de Gros Tony. Faut s'y faire !

    Pas de tentative d'allumer le foyer ce soir. Mais il fait moins froid qu'hier. Pas de gamberge non plus. Je déplace quelques matelas pour m'installer confortablement, et bouquiner peinard à l'aide de ma liseuse, la grande amie du randonneur lecteur.

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